Entretien Technique. Entretien Technique.
Max (L) et Bernard (R), du 333fab Bernard. J’étais messager à vélo et j’ai travaillé dans quelques magasins de Boston pendant environ huit ans. De 1997 à 2003, j’ai suivi une formation de construction de vélos Seven Cycles. J’ai ensuite travaillé dans quelques magasins de vélos du sud de la Californie avant de déménager à Seattle, où j’étais fabricant de métal pour un fabricant de meubles. Je travaille aussi au clair de lune au 333fab.

Max : Une formation en sculpture sur métal et en peinture. Mon amour de longue date pour les vélos et la sculpture en métal m’a amené à travailler comme finisseur, expéditeur et soudeur chez Merlin de 1994 à 1997. Je suis ensuite passé à Seven en 1997-1905 en tant que réparateur de châssis, machiniste et soudeur.

Qu’est-ce qui vous a inspiré à créer 333fab ?
Bernard : Notre amour commun pour les courses de vélo et notre rencontre à Seattle l’année dernière. Max avait déjà construit quelques vélos pour sa marque Bird. Nous avons discuté de la possibilité de collaborer sur quelque chose pour le spectacle fabriqué à la main, et 333fab est né.

Max: J’ai construit moi-même quelques vélos Bird et j’ai contacté Bernard, qui était à Los Angeles à l’époque et était sur le point de déménager à Seattle cet été. Depuis notre passage chez Seven Cycles à Boston, nous nous connaissions. Nous avons adoré l’idée de faire du vélo ensemble, nous avons donc fondé 333fab en 2008 et avons fait nos débuts au NAHBS en février 2008.

RBA – Qu’avez-vous appris en possédant et en démarrant 333fab ?
Max : Nous en avons appris beaucoup plus sur la construction de vélos et les affaires que sur leur construction. Nous avons beaucoup appris sur la façon de démarrer et de développer une entreprise. Il est difficile de suivre et de rester au courant de tous les détails qui ne sont pas directement liés à la construction d’un cadre. Nos amis ont été formidables et nous ont permis d’avancer. Nous ne serions pas où nous en sommes aujourd’hui sans le soutien de nos amis.

RBA : Quels fabricants de cadres vous ont inspiré ?
Max : Sept, Pegoretti, BMC, Moots, Strong, Speedvagen.

RBA : Quelle est la différence entre un 333fab et n’importe quel autre cadre sur le marché ?
Bernard : Nous nous engageons à fabriquer des cadres soudés au TIG qui fonctionnent bien et avec un minimum de compromis. Chaque cadre est fabriqué dans le but de maximiser la qualité pour le destinataire prévu. Nous examinons attentivement la forme, la taille, l’épaisseur et l’épaisseur de paroi des tubes. La taille du cadre, la géométrie, les pièces et l’utilisation prévue sont toutes prises en compte. Comme de nombreux constructeurs facturent un supplément pour les cadres légers et SL, nous ne le faisons pas. Au lieu de cela, chaque cadre est construit avec le poids et la performance comme objectif principal. Le cas échéant, nous utilisons également des composants de cadre en fibre de carbone.

RBA – Si vous ne pouviez choisir qu’un seul matériau pour construire un cadre, quel serait-il ?
Bernard : Bien que la majeure partie de notre expérience dans la construction de charpentes ait été en Ti, nous sommes inspirés par la variété des options de tubes en acier. Nous nous spécialisons dans les jeux de tubes en acier à paroi mince qui sont beaux et très efficaces. Les fabricants proposent une variété de jeux de tubes en chromoly légers, durables et réactifs.

RBA – Dans quel type de vélos 333fab est-il spécialisé ?
Max : Nous sommes spécialistes des cadres route et cyclocross. Nous nous inspirons de nos années d’expérience dans ces disciplines et de ce que nous créons.

RBA – Quel est l’avenir pour 333fab
Max : Nous cherchons à être créatifs et à suivre les derniers développements technologiques. Nous sommes également intéressés à nous impliquer dans la communauté en encadrant, en enseignant et en encourageant la culture du vélo.

Visitez www.333fab.com pour plus d’informations sur 333fab

Jetez un coup d’œil au vélo de cross à vitesse unique 333 Fabrications de l’Oregon Handmade Bicycle Show:

Philippe Booth